#Flic de polar
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Niko Tackian - Triangle noir
Le dernier Niko Tackian
Niko Tackian propose son dixième roman, Triangle noir, un thriller, plus sombre que les précédents, à l’image de l’ambiance actuelle, où s’introduit l’intelligence artificielle au service d’une enquête. Comme toujours, l’écrivain sait rendre compte de son époque à partir de meurtres qui touchent uniquement des jeunes hommes tombés aux mains d’un ou des assassins aux théories maléfiques et…
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Icône du cinéma français, Alain Delon s’est éteint ce dimanche 18 août, à 88 ans. De sa révélation sur le grand écran au début des années 1960 à son César du meilleur acteur, retour sur sa carrière en sept films emblématiques qui ont campé son style.
Il était l’un des acteurs qui a enregistré le plus d’entrées en France, totalisant plus de 136 millions de spectateurs avec l’ensemble des films qui l’ont mis en scène. Alain Delon est mort ce dimanche 18 août 2024, à l’âge de 88 ans, ont annoncé ses enfants. La star du grand écran a marqué le cinéma français de son empreinte avec 90 longs-métrages, qui ont façonné sa réputation de légende et son style caractéristique. En voici sept particulièrement marquants.
« Christine » (1958) : sa rencontre avec Romy Schneider Alain Delon n’a que 23 ans et a fait ses premiers pas au cinéma un an plus tôt, dans Quand la femme s’en mêle d’Yves Allégret, lorsque l’actrice allemande Romy Schneider le choisit sur photo pour tourner avec elle dans Christine, de Pierre-Gaspard Huit. Il y incarne le lieutenant Franz Lobheiner, amant d’une riche baronne autrichienne dont il veut rompre, qui tombe follement amoureux de la charmante Christine Weiring, jouée par la jeune star du cinéma qui n’a alors que 20 ans. La première rencontre entre les deux acteurs, à la descente de l’avion, deux mois plus tôt, n’était pourtant pas des plus concluantes. La barrière de la langue les sépare et le duo ne s’entend absolument pas. Ils finiront pourtant par tomber amoureux et former un couple connu comme « les plus beaux fiancés d’Europe ».
« Plein soleil » (1960) : la révélation d’un « jeune premier » Deux ans plus tard, Alain Delon est choisi par le réalisateur René Clément pour jouer dans une adaptation du roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Alors qu’il devait jouer le deuxième rôle masculin, il parvient à convaincre l’équipe de réalisation qu’il serait plus adapté dans le costume du personnage principal, Tom Ripley, qui colle plus à son caractère un peu « voyou ». Avec ce rôle, Alain Delon se révèle sur le grand écran et pose les jalons de ce qui deviendra son style, charismatique et un peu rebelle. « Personne ne savait qui j’étais. Le film qui a fait le tour du monde, a été la base de ma carrière », avait d’ailleurs reconnu l’acteur.
« Le Guépard » (1963) : la palme d’or à Cannes Alain Delon y incarne Tancrède Falconeri, le neveu du prince Fabrice de Salina (Burt Lancaster) qui se lie d’amour avec une bourgeoise, Angelica Sedara (Claudia Cardinale), dans une Italie du milieu du XIXe siècle marquée par le déclin de l’aristocratie traditionnelle. Adapté du roman éponyme de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, cette fresque obtient la Palme d’or au Festival de Cannes en 1963 et devient un succès commercial et critique dès sa sortie. Alain Delon, au sommet de son élégance (moustache fine et raie sur le côté), y est l’incarnation de la noblesse. Le couple qu’il forme avec Claudia Cardinale entre dans l’histoire du cinéma. Le film comporte notamment une scène de bal devenue iconique, qui marque la victoire de la bourgeoisie sur la noblesse et où les trajectoires du trio principal trouvent leur aboutissement.
« Le Samouraï » (1967) : la consécration du « genre » Delon Cette première collaboration avec Jean-Pierre Melville donne l’un des chefs-d’œuvre de la filmographie de Delon, qui incarne le tueur solitaire Jef Costello. Fantomatique, inexpressif (son personnage n’a quasiment aucune réplique), obsédé par la maîtrise, avec son regard bleu froid, son imper et son chapeau : ce personnage est à la base du mythe Delon. L’esthétique de ce polar glacial influencera nombre d’autres cinéastes, dont John Woo ou Quentin Tarantino. La collaboration Delon-Melville accouchera d’un autre chef-d’œuvre, Le Cercle rouge (1970, avec Bourvil), avant Un flic (1972).
« La Piscine » (1969) : les retrouvailles avec Romy Schneider Mi-drame, mi-polar, ce film de Jacques Deray marque les retrouvailles entre Alain Delon et Romy Schneider, avec qui il a formé un couple mythique du cinéma français. Il n’y aura pas de retour de flamme entre eux mais la carrière de l’actrice allemande, alors en demi-teinte, redécolle. Plus de 3 millions de spectateurs plongent dans la piscine au-dessus de Saint-Tropez, fréquentée par le couple mais aussi par Maurice Ronet et Jane Birkin. Delon dira plus tard : « Ce film, je ne peux plus le regarder. Trop douloureux de revoir Romy et Maurice (morts en 1982 et 1983, N.D.L.R) rire aux éclats. »
« Borsalino » (1970) : son duo iconique avec Belmondo C’est encore grâce à Jacques Deray qu’Alain Delon connaît un vrai succès populaire avec Borsalino, où il forme un tandem iconique avec Jean-Paul Belmondo. Le film, histoire de deux jeunes voyous qui tentent de devenir les caïds de la pègre marseillaise, marque le point d’orgue du duo entre Delon et son rival, mais aussi ami. « Heureusement qu’il était là. Ni l’un ni l’autre n’aurait fait la même carrière sans l’autre. Il y avait une compétition mais aussi une sorte de stimulation entre nous. Ça m’aurait vraiment emmerdé qu’il ne soit pas là. Qu’est-ce que j’aurais foutu sans lui pendant cinquante ans ? » Le succès est au rendez-vous : le long métrage enregistre plus de 4,7 millions d’entrées et une suite, Borsalino and Co, sort au cinéma quatre ans plus tard.
« Notre histoire » (1984) : son seul César du meilleur acteur Malgré son immense carrière, Alain Delon n’a décroché qu’une seule fois le César du meilleur acteur obtenu en 1985 pour son rôle dans Notre histoire, de Bertrand Blier, sorti l’année précédente. Cette comédie dramatique, parfois absurde, parle de solitude et d’amour, autour de la rencontre dans un train, entre Robert, la quarantaine fatiguée, et une jeune femme désabusée, incarnée par Nathalie Baye. Le public ne suivra pas, mais la critique a majoritairement aimé ce film dans lequel Delon a pris des risques pour camper un personnage fragile, un ivrogne, bien loin de celui qu’il interprétait dans le Samouraï.
Alain Delon, qui avait commencé sa carrière à la fin des années 1950, était l’un des derniers monstres sacrés du cinéma français.
Né le 8 novembre 1935 à Sceaux (Hauts-de-Seine), Alain Delon fait ses débuts sur le grand écran à la fin des années 1950, dans Quand la femme s’en mêle, d’Yves Allégret.
Ces premiers pas au cinéma, il les doit à un « scout » qui les repère, lui et son charisme, lors d’un casting sauvage réalisé en marge du Festival de Cannes, à une époque où le jeune Alain Delon enchaîne les petits boulots. Quelques mois plus tôt, il était revenu d’Indochine, où il a servi dans la Marine, avant d’être renvoyé pour avoir, selon la légende, « emprunté » une jeep pour aller faire la fête. Un beau gosse un rien rebelle. Tout Delon est là, déjà.
Ce personnage de voyou magnifique, auquel sa nature semble le prédestiner, Alain Delon va l’étrenner, le perfectionner durant une bonne partie de sa carrière.
Très rapidement, on le verra ainsi incarner un tueur à gages dans Le Samouraï (1967), dans l’une de ses nombreuses collaborations avec Jean-Pierre Melville. Puis, dans Borsalino (1970), où il partage l’affiche avec son meilleur ennemi, Jean-Paul Belmondo, il prend les traits d’un éminent membre de la pègre marseillaise.
Toujours en 1970, dans Le Cercle rouge, il joue un autre bandit de classe, traqué par un Bourvil à contre-emploi. Mais, plus tard, les Français le verront passer de l’autre côté de l’insigne, dans Parole de flic ou Pour la peau d’un flic, film qu’il produira, comme une trentaine d’autres.
La rubrique des faits divers, celui qui ne cachera jamais ses attaches à droite la côtoiera également dans le civil. À la fin des années 1960, alors qu’il est au faîte de sa gloire, il sera ainsi entendu dans le cadre de la médiatique affaire Markovic, du nom de son ancien homme à tout faire yougoslave, retrouvé assassiné. La procédure, dans laquelle un ami d’Alain Delon, François Marcantoni, était le principal suspect, avait débouché sur un non-lieu pour preuves insuffisantes. Elle aura néanmoins perturbé le tournage du Clan des Siciliens, dans lequel il partage l’affiche Jean Gabin et Lino Ventura. Rien que ça.
Puis, au tournant des années 2023 et 2024, il sera l’objet d’une brouille entre ses enfants, Anouckha, Alain-Fabien et Anthony, sur fond d’héritage et de présence d’une « dame de compagnie », Hiromi Rollin. La découverte, quelques semaines plus tard, des dizaines d’armes que possède l’acteur dans sa résidence de Douchy (Loiret), finira d’alimenter une chronique qui aura quelque peu terni l’image de l’acteur.
Mais, entre-temps, Alain Delon aura peaufiné son autre facette, celle du séducteur à la gueule d’ange. Celle-ci crève l’écran dès 1960, dans Plein Soleil de René Clément et dans Rocco et ses frères, où Delon donne la réplique à Claudia Cardinale, sous les ordres de l’un de ses mentors, Luchino Visconti.
Ce séducteur patenté, les spectateurs le retrouveront régulièrement par la suite. Dans Le Guépard (1963), film-fleuve issu de l’œuvre de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, par exemple. Mais aussi, et peut-être surtout, dans La Piscine (1970), film sensuel dans lequel Delon donne la réplique à Romy Schneider, son ex-compagne.
Plus que ceux qu’il forma avec Nathalie Delon, Mireille Darc ou, un temps, avec Dalida, le couple mythique qu’Alain Delon forma avec l’interprète de Sissi, contribuera à le faire entrer dans la légende du cinéma français, celle à laquelle, diront ses détracteurs, il était si conscient d’appartenir. Difficile toutefois, en regardant dans le rétroviseur, de le contredire sur ce point.
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Excellent roman croate. Je l’ai dévoré. C’est censé être un polar… hum. Oui c’est vrai, il y a un crime, un policier et un coupable. Et du suspense. Mais tout l’intérêt du livre est ailleurs.
C’est un roman qui s’attache à quelques personnages, et est construit par une succession de chapitres dans lesquels on est dans leur psyché. On est touchés par eux, on les comprend. Tous. Une famille assez pauvre de Split et un flic un peu effacé.
C’est plutôt une chronique sociale, dans laquelle l’époque moderne est scrutée. Dans cette ville touristique à l’approche de l’hiver, réapparaissent les fractures : centre historique moribond, banlieues sombres. Et la douleur mythique des mères, d’une mère, pour laquelle seule l’église apparaît comme secours, à tort d’ailleurs.
Comment les pouvoirs publics échouent à protéger les uns et les autres, comment les réputations se font et se défont, comment les valeurs sont à géométrie variable quand il s’agit de sa famille. C’est sobrement décrit, avec une pointe d’humour désespéré, et une justesse implacable. C’est le genre de polar que j’aime, plus psychologique et social que véritablement animé de suspense et de ressorts fallacieux.
#littérature#livres#litterature#roman#livre#polar#polar social#littérature croate#jurica pavičič#éditions agullo
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y'a zéro français qui me suivent ici mais sachez que la série polar park (actuellement dispo sur arte pour encore genre un mois) est bien sympa hahah
dans le genre thriller qui se prend pas trop au sérieux, mais suffisamment, genre une bonne série détente. jsp je suis pas très calé thrillers. mais pour le coup je me suis laissée entraîner.
trope de l'écrivain et du flic qui bossent ensemble sur une affaire, et franchement les persos sont attachants. tout le florilège des secondaires aussi.
#bon et évidemment je suis pour la propagande de les province mdr#frenchblr#french tv#chatterbones#je viens de binger les 6 épisodes 👍 il me tarde d'être demain matin#polar park#y'a l'acteur bg qui était à la fin de lupin qui y est de passage aussi. sachez le.
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Titre : Avalanche Hôtel
Auteur : Niko Tackian
Nombre de pages : 282
Classement : ★★★★☆
Première publication : 2019
Lu entre : 25 May 2022 - 17 December 2022
Mon avis :
Ce polar est amusant et je suis contente d’avoir résolu le mystère avant la fin du livre.
Mon personnage préféré est Sybille, mais Joshua n’est pas un mauvais protagoniste.
C’était ennuyeux de voir comment Joshua traitait Sybille après qu’ils aient couché ensemble, néanmoins je suis heureuse qu’il ait finalement arrêté de se comporter comme ça. Bien sûr, divers commentaires du narrateur (ou de l’auteur ?) sur le physique de Sybille m’ont semblé inutiles et choquants, cela n’a pas atteint l’extrême d’Arturo Pérez-Reverte, peut-être similaire au style de Bernardo Esquinca. C’est quand même chiant à lire.
Concernant le paysage du mystère, l’ambiance m’a rappelé le film Les Rivières pourpres (je ne trouve toujours pas le roman pour le lire).
Le mystère était intrigant et c'était drôle de suivre les indices avec le flic.
Bien sûr, la perte de mémoire du protagoniste était frustrante, mais c'était le but.
Je ne suis pas convaincue par l'explication sur les souvenirs, cependant, je crois au pacte fictionnel, donc cela ne me dérange pas.
J'aimerais lire un autre livre de cet écrivain.
#tbrbusterchallenge2022#bookbanditchallenge#book review#mini book review#littérature#littérature francophone#niko tackian#Avalanche Hôtel#thriller#leerreadinglire
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JOUR 3 & 4 - LANGBLR REACTIVATION CHALLENGE
Voici quelques mots et phrases dans le thème du Polar (Detective Novels). Il y a une limite de caractères, mais vous trouveriez plus de vocabulaire sur la forme de flashcards ici.
la loi - the law
avoir la loi pour soi - have the law on one’s side
respecter une loi - to respect the law
violer une loi - to break the law
un procédé parfaitement légal - a perfectly legal procedure
la légalité - legality
l'illégalité - illegality
le droit - law
un étudiant en droit - a law student
le droit civil - civil law
la justice - justice
poursuivre qqn en justice - prosecute someone by law
juste - fair
injuste - unfair
l'injustice - injustice, unfairness
le tort - harm, prejudice, injustice
être victime d'une injustice - to be the victim of an injustice
une affaire - lawsuit
il est mêléà une affaire de corruption - he is mixed up in a bribery affair
un condamnamné - a convict
un condamné à mort - a person sentenced to death,
punir - to punish
la prison - prison, jail
le détenu - prisoner
le prisonnier - prisoner, inmate
la liberté - liberty, freedom
libérer - to free, to release
être libéré pour bonne conduite - be released for good conduct
les forces de l’ordre - forces of order
la police - police
le gendarme - policeman
le keuf - policeman (slang)
commettre - to commit
un agent de police - policeman
une enquête policière - police investigation
l'enquêteur - investigator
un commissariat - superintendent
enquêter - to investigate
le flic - cop (slang)
le crime - crime
la criminalité - crime
le délit - offence (as in crime)
tuer - to kill
commettre un crime
commit a crime
un acte criminel - a criminal act
blesser - to hurt
armé - armed
l'arme - weapon
la victime - victim
le vice - vice, flaw
la flèche - arrow
l'arrêté - decree
la corde - rope
le couteau - knife
l'intoxication alimentaire - food poisoning
le tueur - killer
l'accident a fait de nombreuses victimes - the accident claimed numerous victims
l'arrestation - arrest
procéder à une arrestation - conduct an arrest
la bagarre - brawl
une bagarre - a scuffle
juger - to judge
être jugé pour qqc - to be tried for something
un jugement - a sentence
le juge - judge
un/e juge d'instruction - examining magistrate
avouer - to admit
l'avocat - lawyer
une avocate (de la défense) - counsel
le jury - jury
un juré - member of the jury
interroger - to question
un interrogatoire - examination
procéder a un interrogatoire - conduct an examination
accuser qqn de qqc - accuse s.o. of s.th.
il a été accusé de vol - he was accused of theft
l'accusé - defendant
accuser - to accuse
porter une accusation grave contre qqn - bring a serious accusation against s.o.
un/e accusé/e - defendant
le vérificateur - verifier, checker, chequer
la vérification - check, verification, control, inspection
véritable - real, genuine
la vérité - the truth
véritablement - genuinely, sincerely, really, truly
un mensonge - a lie
mentir - to lie
(être) coupable (de qqc) - (be) guilty (of s.th.)
il n’était pas coupable du crime - he was not guilty of the crime
la culpabilité - guilt
avoir un doute sur la culpabilité de l’accusé - have a doubt of the defendant's guilt
l'innocence - innocence
être reconnu innocent/e - be declared innocent
condamner qqn à qqc - sentence s.o to s.th.
l'accusée a été condamnée à 6 mois de prison - the defendant was sentenced to six months in prison.
infliger une condamnation à qqn - inflict a penalty on s.o.
une bagarre a opposé deux bandes de jeunes - two teen gangs were involved in à scuff
céder face à la violence - give way to force
attaquer - to attack
une attaque - an attack
piquer - to lift, to take
voler - to steal
un vol - a theft
un vol à main armée - armed robbery
le voleur - thief
une voleuse - thief
le tribunal - court (of law)
passer devant le tribunal - come before the court
le procès - trial
le procureur - prosecutor
le Tribunal correctionnel - criminal court
la Cour d'assises - court of general sessions
en premiére instance - in the court of first instance
elle a été condamnée en première instance - she was convicted in the court of first instance
faire appel - appeal (to a higher court)
l'accusé a l‘intention de faire appel - the defendant intends to appeal
la cour de cassation - court of cassation (highest court of appeals in France)
casser un jugement - set aside a verdict
le droit - law
le droit pénal - penal law
le droit civil - civil law
le code pénal - penal code
le code civil - civil code
le dossier - file
le cas - case
un cas désespéré - case hopeless case
prouver - to prove
l'avocat de la défense a prouvé que l'accusé était innocent - the defense attorney proved that the accused was innocent
la preuve - proof
une preuve - proof
apporter la preuve de la culpabilité dé qqn - furnish proof of s.o's quilt
l'aveu - confession
passer aux aveux - give a confession
nier- to deny
l’accusé nie tout en bloc - the defendant denies everything
le conte de fées - the fairytale
#langblr#langblr reactivation challenge#french language#french studyblr#french#fr#francais#french vocab#dark academia aesthetic#dark academia
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HIGHWAY 65 - Une bien jolie surprise pour ce polar de l'été.
Un film prenant qui repose sur un habile scénario et le jeu impeccable des acteurs en particulier de celle qui tient le rôle principal. La femme-flic en lunettes, qui se barbouille de Thina au moindre Falafel, pas sexy pour un sou ; mais désespérée et attachante, et surtout, tellement pertinente.
On pourrait juste déplorer des faiblesses de réalisation : le manque d'images, de panorama, de musique et de quelques travellings... Oui, réaliste et minimaliste, mais quznd même!
NOTE 15/20 - Même si l'intrigue de ce polar poisseux reste classique, Highway 65, tourné en hébreu, fait preuve d'originalité dans sa mise en scène et sa volonté de remettre en question les jeux de pouvoir patriarcaux et la place de la femme dans la société israélienne.
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Le chant des innocents, Piergiorgio Pulixi
Décidément, j’aime énormément les polars de Piergiorgio Pulixi ! Celui-ci commence par une scène de crime glaçante : 85 coups de couteau et une ado de 13 ans. Sauf que ce n’est pas la victime, mais la meurtrière… Elle est restée là, un sourire diabolique aux lèvres. Et bientôt, de nouveaux meurtres sont commis, toujours par des collégiens. Face à ces enfants tueurs, l’inspectrice Teresa Brusca demande officieusement son aide au commissaire Vito Strega, suspendu après un « accident » d’enquête.
La première enquête de Strega, et de ce que j’ai cru comprendre, le premier roman écrit par Pulixi. Mais pour le coup, je conseille vraiment de commencer par L’île des âmes et L’illusion du mal. Je ne sais pas, commencer par celui-ci me paraît bizarre, d’autant plus qu’on ne saisit pas pleinement toute l’étendue du talent de Pulixi.
Le chant des innocents a un petit côté Esprits criminels que j’ai vraiment adoré. Un flic mystérieux, à la morale grise, en proie à ses démons (bon il était un peu cliché par moments dans le genre aimant à femmes mais c’est pas grave, j’adore Strega quand-même), prêt à tout pour rendre justice aux victimes… J’ai vraiment bien aimé retrouver le style de Pulixi, sa plume très cinématographique, ses chapitres courts et son rythme haletant : on ne perd pas de temps (en même temps, en 250 pages on n’a pas de temps à perdre) et on avale les chapitres. Et c’est vraiment ce dont j’ai besoin en ce moment : quelque chose qui m’accapare, un univers dans lequel je rentre rapidement et que je n’ai pas envie de lâcher. Je n’ai qu’une chose à dire : par pitié, faites que ses bouquins soient adaptés en série, je signe tout de suite ! Et maintenant j’ai super super super envie de lire La septième lune, j’ai vu que c’était le retour de Vito, Eva et Mara et je n’attends plus que ça !
04/05/2024
#livres#books#livre#book#littérature#polar#littérature italienne#gallmeister#le chant des innocents#piergiorgio pulixi
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Mirage sanglant - Josiane Saint-Laurent
La capitaine Agnès Leclercq a quitté Paris. Ses interrogations sur son avenir dans la police, après avoir découvert que son binôme était le tueur en série qu’elle recherchait, vont l’amener à demander sa mutation sur Toulouse où elle pourra animer des conférences à l’École de Police, tout en continuant à être sur le terrain. Alors qu’elle s’immerge dans sa nouvelle vie occitane (amie, nouveau binôme, amants Tinder…), des événements inattendus se dérouleront dont un meurtre au mode opératoire semblable en tout point à celui du serial killer parisien. Agnès va commencer à se sentir menacée. À la sortie de l’amphi, une élève intelligente et sérieuse insistera pour être stagiaire dans son service et prouver sa détermination à devenir flic. Mais rien ne se passera comme la capitaine l’entendait… Ce roman évolue en permanence à la frontière entre réalité et fiction au sein de l’école de police de Toulouse.
Josiane Saint-Laurent, naît à Toulouse, grandit auprès d’un père policier. À travers ses anecdotes, elle découvrira la violence urbaine quotidienne et, en parallèle ses premiers Sherlock Holmes, Agatha Christie et Simenon. Elle est l’autrice de 4 romans appartenant au genre polar, se déroulant en Occitanie et particulièrement dans la ville Rose. Avec ce cinquième ouvrage, Josiane Saint-Laurent, offre au lecteur une intrigue et un suspense à couper le souffle.
ISBN : 979-10-310-1451-7 11,5 X 17, 334 pages, 15,00 €
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Le commissaire FOURCHAUME pensait passer de bonnes vacances cet année-là. Mais son séjour en Corse va s'avérer plein d'imprévus. Tout d'abord, l'agression d'un enfant va troubler sa tranquillité et son ancien fiancé, disparu depuis des années, resurgit mystérieusement. Enfin, un laboratoire de produits pharmaceutiques semble avoir quelque chose à se reprocher. Il n'en faut pas plus pour que le flic parisien reprenne du service, épaulant des gendarmes rapidement dépassés par la situation. Vacances Corsées : un polar fantastique, mélangeant habilement le réel à la fiction, pour la plus grande satisfaction des lecteurs ...
#polar#roman policier#manipulation génétique#scientifique#expériences biologiques#histoire d'amour#corsedusud#vacances corsées
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La loi de Téhéran : le crack au pays des mollahs sur OCS pulp
Par Etienne Sorin Publié le 05/09/2023 à 11:40
La Loi de Téhéran, avec Payman Maadi, confirme que le polar bouge encore. Wild Bunch
Le film de Saeed Roustayi offre une plongée vertigineuse au cœur du trafic de stupéfiants en Iran. La loi de Téhéran, à ne pas manquer ce mardi 5 septembre à 22 heures 35 sur OCS pulp.
La séquence d'ouverture est déconseillée aux cardiaques. On en a vu un paquet, sur les écrans, des descentes de flics et des courses-poursuites. Mais celles orchestrées parSaeed Roustayi à Téhéran, qui allient réalisme et adrénaline, n'ont pas grand-chose à envier au William Friedkin de The French Connection.
La Loi de Téhéran (2021) met en scène une brigade des stupéfiants à la recherche d'un narcotrafiquant, Naser Khakzad. À sa tête, Samad, joué par Payman Maadi, l'acteur d'Une séparation, d'Asghar Farhadi. Ni tendre ni brute, pragmatique. On pense à L627 de Bertrand Tavernier et à ses agents luttant sans moyens contre le trafic de drogue dans un Paris misérable. Samad et son équipe ratissent large dans les bidonvilles pour remonter jusqu'aux gros bonnets.
Dialogues au cordeau
La méthode est éprouvante. Elle permet de pister Naser Khakzad. Une ex-petite amie ou des « mules » obèses arrêtées à l'aéroport en partance pour le Japon. Aucun temps mort ni digression dans cette plongée dans le trafic de drogue iranien. Pas de respiration en famille pour les policiers. Tout pour l'enquête. Les interrogatoires et leurs dialogues au cordeau ont la même tension que les scènes d'action.
Le thriller de Saeed Roustayi change de braquet sans prévenir. Il offre un tableau édifiant d'un commissariat iranien. Dans la même cellule s'entassent caïds, toxicos et enfants. Dans cette cour des Miracles, un vieil éclopé récidiviste est prêt à faire porter le chapeau à son fils et à l'envoyer deux ans en centre de rééducation plutôt que d'assumer sa responsabilité et retourner derrière les barreaux. La justice est montrée comme un système arbitraire. Saeed Roustayi en sait quelque chose, lui qui a été jeté en prison en 2022 suite à la présentation au Festival de Cannes de Leila et ses frères. Dans le bureau du juge, les policiers ont autant à craindre que les suspects. En un claquement de doigts, un enquêteur peut être accusé de corruption.
Répression féroce
La Loi de Téhéran confirme que le polar bouge encore. Et que les États-Unis ou la France ne sont plus ses territoires les plus fertiles. « Quand j'ai commencé ce boulot, il y avait 1 million de drogués, maintenant il y en a 6 millions. » Le constat désabusé de Samad prouve que les Républiques islamistes mènent les mêmes combats que les démocraties occidentales. Et qu'elles subissent les mêmes échecs, malgré une répression féroce. En Iran, un consommateur pris avec 30 g ou un dealer avec 50 kg écopent de la même peine : la pendaison. À ce tarif-là, autant jouer gros. La vente de crack a explosé au pays des mollahs.
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Olivier Merle - Les entrailles du mal
Trois ambiances se complètent dans le roman policier proposé par Olivier Merle avec Les entrailles du mal. Celui-ci est le dernier volume d’une trilogie, que je n’ai pas lu, censé expliquer la personnalité de son enquêteur, Hubert Grimm. Ce véritable thriller, Les entrailles du mal, a une intensité qui ne faiblit pas scotchant son lecteur et l’obligeant à s’identifier à l’homme plus qu’à…
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JEAN GABIN : FLICS ET VOYOUS
En 1955, Razzia sur la chnouf vient confirmer une nouvelle tendance du cinéma hexagonal : celle des polars peuplés de malfrats et d’inspecteurs de choc. Un univers inspiré du cinéma américain, mais dont une poignée de cinéastes français vont s’emparer avec brio. Razzia sur la chnouf (Henri Decoin, 1955) Le genre policier est presque aussi vieux que le cinéma lui-même, et Louis Feuillade…
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Du coup, j’ai lu le livre qui a fait connaître Jurica Pavičič, cette fois un vrai polar avec un sacré suspense et de sacrées fausses pistes (alala, je me suis bien fait avoir avec la table des matières !).
Il n’empêche, on trouve déjà ce qui m’a bien plu dans Mater Dolorosa : le destin individuel lié à des lieux et à leurs mutations. Ici, elles sont de taille. Quand le roman commence, l’histoire se situe en Yougoslavie… puis au cours de l’histoire, la guerre déchire le pays et le lieu du drame initial devient la Croatie. Difficile à imaginer ce que ce doit être d’avoir traversé ces bouleversements pour une française. La Croatie, j’en ai vu un petit bout, mais en passant, très superficiellement. Je devine que c’est un peu, au niveau culturel et paysager entre l’Italie et la Grèce… mais au niveau culturel, ça a l’air compliqué…
Bref. La disparition de Silva déclenche aussi une mutation de sa famille. Mate, le jumeau, est loyal et dans l’action, sa mère est l’incarnation de la souffrance maternelle, ici encore. Le père, un peu plus lâche, devient progressivement fuyant, il semble s’effacer dans sa douleur silencieuse.
Encore une fois, la construction chorale, avec les différents protagonistes, est astucieuse et haletante. Elle donne à voir intimement les bouleversements du pays, les réalités diverses que chacun endure, et continue d’éblouir par sa justesse psychologique. Gorki, le vieux flic communiste vendu au capitalisme, est touchant, comme si son échec dans l’enquête et sa coïncidence temporelle avec le début de la guerre civile l’avait forcé à enterrer son vieux « moi », à accepter les règles absurdes du marché, pour juste survivre, dans un monde qu’il déteste. Comme s’il se punissait lui-même.
La galerie de portrait est variée et subtile. La narration, qui ne nous épargne aucun trajet -j’ai remarqué que l’auteur expliquait toujours assez longuement les déplacements de personnages, (et il y a beaucoup de mouvements !) met en avant l’errance des personnages, leurs quêtes, l’attente, la lenteur, j’ai trouvé ça malin, immersif, assez troublant ; on cherche Silva, nous aussi, on scrute les pages, on fantasme sur des adresses éloignées... Puis on revient toujours à Misto, petit village dalmate, avec ses habitants qui vieillissent, et parfois meurent.
Figés et en mouvement, c’est le paradoxe que l’auteur croate réussit à représenter, à faire sentir même. C’est sombre, mais un tout petit peu de lumière apparaît en fin de roman… avec élégance et sobriété.
Un écrivain décidément très attachant.
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Avril, ne te découvre pas d'un fil, chère Miss, tu prendrais froid. Mais comme elle a rarement froid, notamment pas froid aux yeux, la Miss se dénude passablement dans Peut-être avec un autre d'Elodie Torrente, la nouveauté Culissime du mois. Dénudée aussi dans le dixième et dernier épisode de Bighorn pirate du sexe qui voit les retrouvailles incandescentes du captain et de sa Molly. En noir, mais avec des friselis de fantaisie, on retrouve avec plaisir la troisième aventure de l'Empathe, de Claude Picq. Ici il fait patte de velours, sans doute pour mieux attraper les souris des quais. Ce suspens à peine digéré, Max Obione avec ses Gros mensonges, nous plonge dans les méandres intérieurs d'un soutier du polar à la chaine... mais dans cette nouvelle à rebondissements, qui est le personnage de qui ? On continue encore une belle série avec le 4e épisode de la saison 3 des aventures de notre flic gay, aristo et en nœud pap, René Charles de Villemur, sous la plume de Luis Alfredo : Panzootie, nous rappelle une période, si proche mais pourtant déjà passée, à ne pas oublier. Et comme on ne sait rien refuser à nos lecteurs curieux, voici la friandise d'avril : le deuxième volet de
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(via Ian Rankin - Un cimetière...) @editionslattes @netgalleyfrance Ian Rankin dénonce les violences policières, les flics d’une autre époque qui ont accepté des petits arrangements avec la pègre, les entorses au règlement, etc. @ianrankin2 #Rebus #polar #flic #book Présentation ici https://vagabondageautourdesoi.com/2023/02/24/ian-rankin/
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